Smart va-t-il disparaître ?

[julienjenner]

Uniquement de la smart électrique pour la version 4 et sur la 3 d’ici à la fin de l’année, la production de thermique diminuera. Pour laisser place à la production de la mercedes EQA sur la ligne de prod de la fortwo.

[rôôdy]

Heu.... es tu en train de dire qu'il ne va plus y avoir de fortwo ?

[rôôdy]

Bonjour,

selon les dernières informations, un mouvement social serait en cours à l'usine de production des voitures smart sur le site de Hambach → http://www.lessentiel.lu/fr/news/grande ... h-17741002

En Moselle
Production au ralenti à l'usine Smart d'Hambach
HAMBACH - Des salariés de sous-traitants sont en grève pour obtenir des garanties sur le maintien des emplois avec la production d'un modèle Mercedes, à partir de 2020.

À la place de la Smart, un modèle électrique haut de gamme Mercedes va être produit à Hambach, à partir de 2020. (photo: AFP)
Les Smart partiront pour la Chine «dès 2022»
La Smart en Moselle-Est, c'est bientôt fini

Une faute?

La production de Smart à Hambach (Moselle) tournait au ralenti mardi, en raison d'un mouvement de grève de salariés des sous-traitants pour obtenir des garanties sur le maintien des emplois avec l'arrivée de la Mercedes. «On est contents de ce projet et on voudrait faire partie de l'aventure. Mais des sous-traitants vont rester au bord du chemin», a expliqué Denis Boos, délégué syndical CGT à Faurecia, équipementier plasturgiste. Le groupe automobile allemand Daimler, propriétaire des marques Mercedes-Benz et Smart, a annoncé fin mars une alliance avec le chinois Geely pour produire ensemble en Chine, dès 2022, la prochaine génération des citadines biplaces.

À la place de la Smart, un modèle électrique haut de gamme Mercedes va sortir des lignes de production à partir de 2020. 500 millions d'euros d'investissements sont prévus pour adapter le site mosellan, qui emploie 800 salariés, à cette nouvelle production. À l'appel de la CGT, des salariés des cinq sous-traitants, qui représentent 600 employés, observent un mouvement de grève depuis plusieurs jours et réclament «une réunion tripartite (entre Smart, Mercedes et les entreprises) pour avoir de vraies garanties pour le travail».
(L'essentiel/afp)

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«Tous les emplois du site seront préservés»

«L'usine continue de produire des voitures, mais au ralenti depuis plusieurs jours», a dit à l'AFP un porte-parole de Smart France. «Notre direction nous a ouvertement dit que l'activité cesserait à la fin de la Smart et qu'on devait démissionner pour aller chez Smart», a précisé Nicolas Bosle, délégué CFDT chez Magna Uniport, fabricant d'ouvrants de portes et de hayons. «Si la société cesse son activité, elle doit mettre des choses en place, comme le reclassement, pas nous imposer une démission», a-t-il ajouté.

Daimler avait assuré qu'aucun emploi ne serait menacé par ce changement de stratégie industrielle. Une bourse à l'emploi, créée pour recruter le personnel sous-traitant, a permis l'embauche effective ou à venir d'une centaine de salariés, assure le constructeur. «Smart France a proposé, dans un engagement de mobilité, de garantir les emplois des entreprises partenaires du site, de recruter en priorité leurs salariés, de reprendre leur ancienneté et de proposer deux postes à compétences et qualifications égales aux salariés qui ne trouveraient pas de poste qui leur convient», a détaillé un porte-parole de l'entreprise. «On n'ira pas recruter à l'extérieur», a-t-il souligné, assurant que «tous les emplois du site seront préservés».

(L'essentiel/afp)

[rôôdy]

Autres articles :

https://www.francebleu.fr/infos/economi ... 1559921632

https://www.republicain-lorrain.fr/edit ... t-en-greve

: les sous-traitants durcissent la grève
Depuis plusieurs semaines, les syndicats des sous-traitants mènent un bras de fer contre leur direction et celle de la Smart. Les négociations achoppent sur plusieurs points, notamment sur la garantie de l'emploi et les conditions de reprises des salariés chez le fabricant automobile.

https://www.republicain-lorrain.fr/edit ... -traitants

[rôôdy]

France 3 : L'inquiétude des quelques 800 salariés des cinq sous-traitants de l'usine Smart de Hambach ont décidé de monter d'un cran dans l'expression de leur inquiétude sur leur avenir. mobilisés depuis plusieurs jours ils se sont rassemblés pour demander des garanties sur l'emploi.

Une lettre d'intention, voila la seule "garantie" obtenue par les salariés des cinq entreprises sous-traitantes de Smart à Hambach. Ce n'est pas suffisant pour une grande partie des 800 salariés de ces sous-traitants qui ont décidé de montrer leur mobilisation.

Ceux de Faurecia et Magna-Uniport, à 70% en grève, se sont rassemblés à la mi-journée.
Ils demandent le respect des annonces faites en mars dernier, à savoir la reprise des salariés des sous-traitants par le constructeur allemand. Dialogue bloqué !
Selon les syndicats, Smart traine des pieds, tout comme les directions des entreprises sous-traitantes.
Selon Nicolas Bosle, délégué CFDT chez Magna Uniport," ils veulent que les salariés démissionnent avant que Smart les reprennent". Ils perdraient ainsi notamment leur ancienneté.

L'inquiétude monte chez les quelques 800 salariés des sous-traitants car la date de fermeture de ces entreprises approche. Ce devrait être en 2022 lorsque s'arrêtera la fabrication de Smart à Hambach et sa délocalisation en Chine.
Ils souhaitent que leur situation soit réglée d'ici là, et de la moins mauvaise des façons pour eux.
"Nous demandons à la direction de Smart une réunion tripartite avec l'ensemble des fournisseurs du site", expliquent leurs représentants.

Nous attendons de Smart qu'elle s'engage à reprendre l'ensemble des salariés des sous-traitants.
- Denis Boos, délégué syndical CGT Faurecia

De son côté Smart explique ne pas comprendre cette inquiétude, tout ayant été fait pour que la transition se passe en douceur. Le constructeur dément par ailleurs toute contrainte à la démission immédiate des salariés des sous-traitants.

Aucun salarié ne doit démissionner tant qu'il n'a pas signé son contrat de travail chez Smart.
- Grégoire Lemonnier, directeur des ressources humaines de Smart France.

"On garantit de proposer au maximum deux postes à chaque salarié de ces sous-traitants qui sont intéressés de rejoindre Smart et on s'engage à les reprendre avec leur ancienneté sur le site", précise le DRH.

La direction de Smart, qui estime avoir donné des garanties sur le maintien de l'emploi, souhaite donc un arrêt du mouvement avant toute ouverture de dialogue.

En attendant, la production de la petite voiture citadine est au ralenti depuis le début du mois en raison de ce mouvement de grève.

Article suite actu 11/06/2019

[rôôdy]

Hello,

lien vers un article de magazine U.S. qui traite de la fin de la smart ForTwo → https://www.greencarreports.com/news/11 ... ime-coming - je vous épargne les subtilités de traductions

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Daimler’s Smart brand has announced that it’s pulled the plug on the U.S. sales of its only model, the Fortwo, which went all-electric just one model year ago.

The decision, according to Mercedes-Benz USA, holds for both U.S. and Canadian markets and has to do, the company says, with “high homologation costs for a low volume model.” It also doesn’t affect the arrival of the Mercedes-Benz EQC in 2020, or the availability of service and replacement parts at dealerships; and the Smart brand will continue in Europe, China, and other parts of the world.

Smart went fully electric for the 2018 model year. The Smart EQ Fortwo remains on sale for a few more months and starts at $24,950.

With this move—and the mention of the EQC in the company’s statement—the Fortwo is looking more like a placeholder that earned California ZEV credits ahead of the arrival of that more American-sized electric luxury crossover.

At a retail level, the Smart brand had slowed to the sales numbers of an exotic car. According to Automotive News, Mercedes sold just 1,276 Smart EQ Fortwo models in 2018.

car2go - Portland, OR

car2go - Portland, OR

Car2Go had purchased its vehicles separately from the parent company—including some gasoline models after the brand went all-electric at the retail level—although it has been transitioning away from using Smart vehicles in favor of Mercedes-Benz models.

The Smart Fortwo was originally launched in Europe in 1998, and started out as the Swatch Mercedes Art Car, with its design going back to 1993. It wasn’t offered in the U.S. until 2008, and while it landed in a buzz of initial popularity and sales, it’s faltered ever since.

It didn’t have to be that way. Here are five key decisions that could have taken Smart on a different trajectory in the U.S.

Leaving us in the lurch. The previous single-clutch automated gearbox—the way most Americans first experienced the Fortwo, via Car2Go—was also something that you never got completely used to. The dual-clutch unit that replaced it in this newest generation was great. Smart had told us that the decision to go with the more expensive gearbox (versus a CVT, for instance) had been informed by American tastes, in part. Ironically, very few of these very fully sorted Fortwos made it to the U.S. before the company decided to go all-electric in the U.S. in 2017. Even Car2Go has been in the process of phasing all Smart vehicles out in the U.S.

2008 Smart Fortwo

2008 Smart Fortwo

Going halfway in with Penske. The second-generation Fortwo, which arrived for 2007, was intended for U.S. sales, but the Mercedes-Benz dealers in the U.S. weren’t all that eager then to sell it. Meanwhile Roger Penske saw a business opportunity in the Fortwo with the predictions that gas prices would spike and the economy would stay strong. The Penske operation, Smart USA, sold nearly 25,000 Fortwos in 2008 alone, but that proved to be an aberration—along with the economic predictions. Penske threw in the towel and the parent company retook control over U.S. sales in 2011. For many years since then the Fortwo sold at about 10,000 a year, but that rate has slowed even more over the past several years.

2017 Smart ForFour Brabus

2017 Smart ForFour Brabus

Not bringing the ForFour. The worst business decision Smart ever made could well have been opting to bring the Fortwo to the U.S. for another generation instead of the four-door ForFour. With some wheel-well cladding and rubberized trim, it’s a unique alternative at the fringe of one of the hottest segments in the market—and a vehicle with a lot more flexibility than the Fortwo, even if its back seat isn’t all that adult-usable.

2019 Smart Fortwo

2019 Smart Fortwo

Going small on electric range. Yes, even the tiny Smart couldn’t go too short on range—and at least for American tastes, it does. The Fortwo is rated at just 58 miles, according to the EPA (or 57 miles for the Cabriolet); and if you factor in the 25-percent range drop we’ve seen in some electric vehicles in winter weather—or some stints of freeway driving—Americans with an average daily round-trip commute distance of 32 miles don’t have a lot of wiggle room left.

A big thirst for something so small. The gasoline version has had underwhelming mpg ratings all along. When the second-generation Fortwo arrived in the U.S. for 2016 (or the third one globally), it was rated just 34 mpg city—or 32 mpg city with the five-speed manual—and Smart said that it required 91-octane gas for peak performance.

Car2Go Smart Fortwo, in Portland

Car2Go Smart Fortwo, in Portland

Not breaking the “economy car” stigma. The Fortwo came in some very aesthetically appealing combinations, but in recent years the first and only way many Americans encountered Smart was as part of the Car2Go car-sharing fleet; and the parent company equipped that car-sharing fleet in a least-common-denominator way—including in many cases big steel wheels and drab interiors. It was certainly no way to sell Americans on the individualism that the Smart team had worked hard to establish.

Smart Car In San Francisco

Smart Car In San Francisco

Smart tipping. Widespread reports of “tipping” parked Smart cars over in the street in San Francisco, Seattle, and Denver, among other places, served only to underscore the vulnerability of this minicar and that it was the lightest passenger vehicle on the market. Smart could have turned this widespread coverage directly into a clever marketing campaign—the same dinner-conversation laugh, but a positive one. 

Safe and small. As much as the Smart ended up falling to some American preconceptions, it broke the small-car paradigm in one important way: It was safe. In a video released by the company, the Fortwo crashed, in a frontal-offset impact, passenger cell intact, into a Mercedes-Benz S-Class—a vehicle that doesn’t seem so massive in the U.S. Next to Cadillac Escalades and Lincoln Navigators, it may have only served to underscore, again, just how tiny the Fortwo was.